Institut Fayol – Mines St Etienne

Vient de paraître : L’imperfection des données géographiques Tome 2

En 2019, François Pinet, Irstea, Mireille Batton-Hubert, Mines Saint-Étienne et Éric Desjardin, Université de Reims Champagne-Ardenne publiaient « L’imperfection des données géographiques 1« , qui explorait à la fois les aspects théoriques pour une meilleure compréhension des phénomènes et des représentations, et les aspects pratiques/pragmatiques en présentant des exemples et applications concrètes des outils.

Avec ce Tome 2, « L’imperfection des données géographiques 2« , les auteurs proposent désormais un certain nombre d’applications concrètes dans des domaines variés, démontrant l’application pratique de la méthodologie à des cas d’utilisation tels que l’agriculture, la gestion des catastrophes naturelles, les risques en montagne, la gestion des terres et l’assistance aux malvoyants.

Les données géographiques contiennent souvent des imperfections liées à un manque de précision, des erreurs ou un caractère incomplet. Si ces imperfections ne sont pas identifiées, prises en compte et contrôlées lors de l’utilisation des données, des risques d’erreurs peuvent apparaître, entraînant des conséquences importantes aux effets imprévisibles, notamment dans un contexte décisionnel. Il faut alors caractériser et modéliser cette imperfection, et en tenir compte tout au long du processus.

Ce nouveau volume disponible en français a déjà publié en anglais.

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Découvrir ou redécouvrir le Tome 1

La géomatique est un domaine des sciences qui, depuis une trentaine d’années, s’est intimement intriqué dans notre vie de tous les jours (applications de navigation sur téléphone, données géolocalisées, etc.) au point que l’on oublie souvent les défis qu’elle sous-tend. Au cours des décennies à venir, les volumes générés de données géoréférencées devraient connaître une croissance importante.

Cet ouvrage porte sur la notion d’imperfection des données géographiques, un thème important de la géomatique. Il est en effet essentiel de pouvoir définir et représenter l’imperfection que peuvent connaître les données géographiques. En faire abstraction peut entraîner de nombreux risques, par exemple, utiliser une carte contenant des erreurs peut conduire des personnes qui ignorent ces imperfections à se perdre.

L’imperfection des données géographiques 1 explore à la fois les aspects théoriques pour une meilleure compréhension des phénomènes et des représentations, et les aspects pratiques/pragmatiques en présentant des exemples et applications concrètes des outils.

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