La transition écologique n’est plus une option, mais une nécessité. Dans ce contexte, certaines établissements d’enseignement supérieur se démarquent par leur engagement clair et ambitieux. Parmi eux, l’École des Mines de Saint-Étienne, membre de l’Institut Mines-Télécom, incarne une véritable success story, comme le souligne, ce 15 janvier, un article du Progrès intitulé « École des Mines de Saint-Étienne : une attractivité croissante autour de la transition écologique ».
L’article met en avant la stratégie audacieuse de Mines de Saint-Étienne, qui a fait du développement durable et de la transition écologique le cœur de son projet pédagogique. Cette orientation n’est pas anodine : elle a propulsé l’école dans le top 10 national des écoles d’ingénieurs, selon le classement de L’Étudiant. En progression constante depuis plusieurs années, l’École des Mines de Saint-Étienne se classe aujourd’hui 11e, confirmant ainsi l’attractivité de sa démarche.
Le directeur de l’école, Jacques Fayolle, y explique que les étudiants viennent à Saint-Étienne non seulement pour devenir ingénieurs, mais aussi pour se former aux enjeux cruciaux de l’écologie. « Nous avons besoin de professionnels dotés d’un recul scientifique pour aborder ces sujets dans toute leur complexité », souligne-t-il dans l’article du Progrès.
L’une des initiatives particulièrement mises en lumière est le lancement récent du tronc commun « Management des transitions », en 2ème année du cursus Ingénieur Civil des Mines, coordonné par Julien De Benedittis et Magdalena Potz, enseignants chercheurs à l’Institut Fayol et membres du laboratoire COACTIS. Ce programme illustre la manière dont l’école prépare ses étudiants à devenir des acteurs du changement et aborde les aspects juridiques des transitions, le management de la transition écologique, et le management de la transition numérique & industrielle.
Il ne s’agit pas seulement de transmettre des savoirs techniques, mais aussi d’éveiller une conscience systémique des enjeux environnementaux et sociaux, en formant des ingénieurs capables de concevoir des solutions durables.
Merci le Progrès pour cet article.