Vendredi dernier, Mines Saint-Étienne a accueilli une journée consacrée aux doctorantes de l’atelier « Flux Circulation Matières » de l’UMR 5600 EVS – Environnement Ville Société. Cet événement, placé sous le signe de la collaboration et de la découverte, a permis de mettre en lumière le travail passionnant réalisé par ces jeunes chercheuses.
Au cours de cette journée, quatre présentations captivantes ont été proposées, offrant un aperçu des recherches en cours et des questionnements soulevés par ces brillantes doctorantes.
Enora Barrau, de l’École des Mines de Saint-Étienne, a partagé ses réflexions sur les « Trajectoires low-tech de filières de gestion des déchets », explorant le positionnement de l’évaluation environnementale à travers une analyse du cycle de vie.
Maïlys Genouel, de l’École Normale Supérieure, a abordé la thématique complexe des inondations urbaines et de leurs implications en matière de pollution, se demandant si celles-ci représentent un défi pour les gestionnaires québécois et français.
Mathilde Hermelin-Burnol, de l’Université Lyon 3, a proposé une réflexion sur la gestion locale du risque lié aux pesticides, mettant en lumière les inégalités environnementales et les enjeux de prévention pour les riverains.
Enfin, Rachel Seillier, également de l’École des Mines de Saint-Étienne, a présenté son travail sur l’évaluation de la biodisponibilité pour diagnostiquer plus efficacement le potentiel de contamination des territoires industriels.
Cette journée a été l’occasion pour ces doctorantes de partager leurs travaux, d’échanger des idées et de susciter de nouvelles pistes de réflexion dans le domaine passionnant des flux et circulations de matières. En témoignant de leur engagement et de leur expertise, elles ont contribué à ouvrir de nouvelles perspectives de recherche.