Enseignant chercheur en intelligence artificielle à l’Institut Henri Fayol, École des Mines de Saint-Étienne depuis 2017, Maxime Lefrançois a été interviewé par Mines Études et Projets, la Junior de l’École des Mines de Saint-Étienne.
Parmi de nombreux points, Maxime Lefrançois aborde notamment son approche de sa mission d’enseignant-chercheur qui est pour lui d’une grande richesse : « La recherche en milieu académique permet d’avoir une grande indépendance dans le choix des sujets sur lesquels on veut travailler. À l’école des Mines de Saint-Étienne, mon métier comporte également une composante importante de transfert auprès des industriels par le biais de contrats de R&D, thèses CIFRE, mais également par le biais de contributions à la normalisation. L’enseignement enfin me permet de transmettre mes connaissances et ma passion pour les sciences et technologies de l’informatique, et d’essayer de former au mieux les étudiants aux besoins du monde du travail exprimés par nos partenaires industriels. Ajoutons quelques déplacements professionnels, du management, de la gestion de projets, des responsabilités collectives diverses… Nous jonglons avec de nombreuses casquettes et des tâches très variées. J’ai trouvé mon Ikigai. »